Il y a dix ans ce mardi, l'Algérie adoptait une charte de paix et de réconciliation nationale. Après les violentes années 1990, le texte devait permettre aux terroristes qui quittaient le maquis d'éviter les poursuites judiciaires.
Certains dénoncent l'impunité pour ceux qui ont tué, mais aujourd'hui, les autorités estiment que l'objectif est atteint : la paix est revenue et le terrorisme est affaibli. Les associations de victimes s'estiment, elles, les grandes perdantes.
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