Le président Alpha Condé avait pourtant répondu sans ambages. A « Jeune Afrique » (cf. n°2856 du 4 au 10 octobre 2015) qui lui demandait quelques jours avant la présidentielle du 11 octobre dernier si le scrutin serait «réellement démocratique et transparent», il avait affirmé, la main sur le cœur : «Oui.
Nous avons satisfait à toutes les demandes de l'opposition en ce sens et même au-delà, malgré les réticences de ma propre majorité. Délégations spéciales, fichier électoral, composition de la CENI : tout le processus a été assaini... ».
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