Dans un message à la nation en kirundi, la langue nationale du Burundi, le président Pierre Nkurunziza a lancé ce lundi un ultimatum de cinq jours à ses concitoyens qui ont pris les armes et qui sont considérés comme des « criminels armés ».
Les autorités désignent sous ce terme les membres de la rébellion née fin avril de la contestation au troisième mandat du président Pierre Nkurunziza. Dans son discours, le président appelle également à un dialogue national, mais qui se tiendra au Burundi.
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