« Il ne faut jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué ». Cet adage colle bien à la situation actuelle en Libye.
En effet, la formation, le 19 janvier 2016, du gouvernement d'union nationale, avait suscité beaucoup d'espoirs. Ce gouvernement vient d'être rejeté. C'est dire que l'on était vite allé en besogne en pensant que les intérêts de la nation libyenne avaient triomphé des rivalités picrocholines entre les frères ennemis de Tobrouk et de Tripoli et que, ce faisant, la communauté internationale n'avait désormais qu'un seul interlocuteur.
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