Réunie à Rome, la coalition a exigé de ne pas décider : l'attaque contre l'Etat islamique en Libye, ce sera pour plus tard si nécessaire.
La réunion de Rome de mardi était présentée (par la presse) comme si elle devait trancher la question de la date, parce que celle du principe de l'attaque contre l'Etat islamique en Libye était quasiment acquise. Mais l' Italie, la France, les Etats-Unis et leurs 21 autres alliés ont préféré temporiser, pour donner leur chance aux efforts internes de normalisation. «En Libye, nous sommes sur le point d'avoir un gouvernement d'unité nationale et cela empêchera Daesh (EI en arabe) de prendre le contrôle de l'avenir du pays », a déclaré le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, à l'issue de la rencontre.
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