La question de la bi-nationalité des candidats à la présidentielle, remise au goût du jour avec la saisine des juridictions françaises par la défense de Karim Wade dans le cadre de l'Avis du Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire, est de plus en plus en passe de renforcer les lignes de fracture au sein de la classe politique.
Alors que les partisans du pouvoir en place, à l'instar d'Aminata Touré (ex-Premier ministre) et Mame Mbaye Niang (ministre de la Jeunesse), fustigent ouvertement la double nationalité de Me Abdoulaye Wade (ancien chef de l'Etat) et de son fils Karim Wade, candidat du Pds à la prochaine présidentielle, l'opposition appuie sur la pédale douce.
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