Depuis plusieurs mois, la presse nationale fait écho de vols et d'abattages clandestins d'ânes. Une tendance implicitement confirmée par les chiffres du ministère des Ressources animales, selon lesquels quelques milliers de bourricots auraient été légalement tués au Burkina Faso en 2015, contre près de 33 000 peaux exportées...
D'où provient cet intérêt subit pour les épidermes de nos pauvres baudets ? Comment s'organisent les filières légales et clandestines ? Quelles peuvent être les conséquences à long terme ? Voici quelques éléments de réponse.
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