« Nous n'avons rien fait. Tout est de leur faute ». Cette phrase est sans doute la plus prononcée ou pensée par les partisans des différentes chapelles politiques en Côte d'Ivoire. C'est à croire que les 3000 morts de la crise post-électorale cherchent toujours « preneurs » à moins que ces hommes et ces femmes se soient suicidés en masse.
Près de 5 ans après la fin de la crise post-électorale, force est de reconnaitre qu'aucun des deux camps n'a véritablement demandé pardon à la Côte d'Ivoire pour ces moments d'épouvante qui portent pourtant leurs marques.
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