Génie de la littérature malgache, il était un être à part. L'académicien, auteur, linguiste et enseignant de renom, Di comme on le surnomme, a tiré sa révérence, hier.
« Ma langue je la fais souveraine, quant à celle d'autrui, je la maîtrise en la faisant mienne aussi. » C'est avec cette phrase devenue un leitmotiv au fil du temps, voire une idéologie à suivre pour tous les amateurs et férus de littérature de la Grande île, qu'Henri Rahaingoson a marqué de son empreinte, l'histoire. Cette phrase illustre à la fois son ouverture au monde et sa grande générosité quant à la valorisation de sa langue maternelle, le malgache, qui lui tenait énormément à cœur.
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