Tunis — « Il est grand temps de réviser la législation nationale sur la lutte contre la violence à l'égard des femmes, la protection des enfants contre l'exploitation et les abus sexuels et la traite des êtres humains afin de mieux garantir les droits de ces catégories fragiles », a plaidé Amor Mansour, ministre de la justice.
« Néanmoins, ce dispositif juridique ne suffit pas, à lui seul, pour mettre fin à ces pratiques. Encore faut-il que les mentalités et les comportements changent et évoluent », a-t-il martelé...