Le ministre des Finances, Slim Chaker, a indiqué hier à Bizerte que les difficultés de financement du budget de 2017, évoquées récemment par le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), résultent de la régression du taux de croissance à moins de 2% (0,8%) et l'arrivée à échéance de l'emprunt qatari d'une valeur de 500 millions de dollars que la Tunisie a obtenu en 2012.
Concernant l'initiative du président de la République, Béji Caïd Essebsi, de former un gouvernement d'union nationale, il l'a qualifiée de «positive pour la redynamisation de l'économie et la création d'une nouvelle chance pour la Tunisie de relancer la croissance».
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