Malgré l'abolition des quotas en 2017, qui favorisera les betteraviers, l'Europe demeurera pour le sucre mauricien un marché intéressant à explorer.
Mais il nous faudra monter en gamme, nous démarquer sur le marché européen, où l'on ne produit que du sucre de betterave, tandis que les sucres spéciaux - très demandés sur le marché européen - peuvent être fabriqués uniquement à partir de la canne, observe Devesh Dukhira, le CEO du Syndicat des sucres. De plus, les utilisateurs industriels en Europe mettent de plus en plus l'accent sur un environnement durable. Maurice offre tous ces atouts que recherchent les grands industriels. Il insiste, par ailleurs, que Maurice doit s'atteler à préserver ses accords d'accès préférentiel avec le Royaume-Uni.
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