J'ai toujours dit - parlant de Mariama Bâ - qu'elle avait trop peu écrit. Cette faible bibliographie n'empêche pas l'œuvre qu'elle nous a laissée d'être très dense. Qui n'a pas lu et relu « Une si longue lettre », soupiré à la lecture de la correspondance entre Ramatoulaye et Aïssatou, ou maudit Modou, le mari piqué par le démon de midi ?
Ou encore pleuré devant le destin si tragique de Mireille dans « Un chant écarlate », la maman du bébé ni noir ni blanc, le « niouloul xéssoul ».
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