L'ancien Code minier du Burkina, celui de 2003, comportait des silences, des lacunes, des insuffisances, des contradictions, véritables failles et portes d'entrée de la corruption. En effet chacune des parties prenantes pouvait les exploiter pour parvenir à des fins personnelles.
Cette remarque a été faite par le Réseau national de lutte anticorruption (REN-LAC) dans l'étude sur « les perceptions et les présomptions de la corruption dans le secteur minier au Burkina Faso » qu'il a publiée en décembre 2015.
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