Les témoins à charge, dans le procès de Simone Gbagbo, poursuivie pour des crimes contre l'humanité et des crimes de guerre, défilent à la barre de la Cour d'Assises d'Abidjan, sans donner des "preuves" pour soutenir leurs dépositions, donnant le sentiment de venir "réciter une dictée".
Comme, ce mercredi, les nommés Amadou Dembélé, Souleymane Soumahoro et Alassane Diomandé, comparaissant en qualité de témoin ou sachant se sont évertués à raconter "comment ils ont vécu la crise postélectorale" sans se référer aux différents chefs d'accusation qui valent à l'ex-première Dame ivoirienne sa comparution en assises.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article