Le rythme des précipitations pèse lourdement sur celui de l'activité économique à Douala.
En cette première décade du mois d'août à Douala, les pluies se font autoritaires. Elles tombent quasiment tous les jours, et durent plusieurs heures. Avec comme une préférence pour les débuts de journée. Ce qui a des conséquences sur les affaires. Notamment les activités de transport. « Quand il pleut, tout est bloqué », grince David F., taximan, le regard rivé sur son pare-brise que balaient les essuie-glaces.
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