La loi du secret autour des montants réels versés par les entreprises publiques, privées et parapubliques permet de se faire une idée sur l'épaisseur du magot.
Doit-on croire que les histoires de l'argent qui circule entre la DGSN et les entités demandeuses de services sont des secrets d'Etat ? Difficile à dire. «Même quand l'argent vient d'ailleurs, rien n'est clair!», peste un officier du GMI de Yaoundé. A prendre les mots et leurs sens, le silence absolu entre cette institution coiffée par Martin Mbarga Nguelé et ses partenaires (les micro-finances, les banques, les sociétés de téléphonie mobile, les compagnies de transfert et de convoi des fonds) est un outil de collaboration.
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