Y'aurait-t-il un Burundais qui souhaite voir son pays sombrer dans le chaos ? N'est-ce pas que nous cherchons tous à laisser aux générations futures un pays plus beau, plus prospère qu'avant ? Pourtant, les Burundais se regardent, une nouvelle fois, en chien de faïences.
Yaga, pour tenter d'amorcer le dialogue entre compatriotes, vient d'organiser une rencontre entre ses contributeurs, sous le thème « l'autre c'est moi ».
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