Le rôle de l'art est aussi de déranger, et Taher Jaoui dérange absolument. Ce jeune artiste trompe son monde, certes, et l'invitation, d'un esthétisme raffiné, laissait supposer un univers serein, d'une légèreté subtile. La découverte de l'exposition justifie le titre « Masques et Simulacres». Olfa Feki, qui le propose, annonce la couleur :
«Tao réussit, à travers chaque œuvre, à nous surprendre par le mélange de couleurs, d'outils, ou encore de supports. En somme, les œuvres de Tao reflètent un chaos d'émotions et de frustrations».
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