«Il est surprenant que ce clip pornographique, en si peu de temps, ait pris des proportions virales.» Dans sa Newsletter pour le mois de septembre, le Directeur des poursuites publiques se demande comment les opérateurs d'Internet peuvent permettre la circulation de tels clips. Il fait notamment référence au dernier incident en date où une mineure de 13 ans est impliquée.
«On peut se poser la question sur le rôle des opérateurs d'internet et des réseaux sociaux ainsi que celui du régulateur des services de télécommunications et leurs responsabilités sur la transmission des vidéos à caractère obscène et indécent impliquant des enfants», souligne Satish Boolell. Pour ce dernier, le constat est le suivant : même si les autorités ont mis tout un arsenal légal pour protéger l'enfant et limiter l'accès et la transmission de vidéos obscènes, «la persistance de la commission de ce type d'infraction reste inquiétante».
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