A l'entrée de la Jungle, l'artère principale a pris des allures de ville fantôme. Des échoppes bariolées, copieux restaurants afghans, et coiffeurs à deux sous, il ne reste plus que des baraques vides, les devantures aveuglées par des bâches de plastique.
Certaines gisent, les fenêtres brisées. Elles ont été désossées pour récupérer le bois, si précieux avec le retour du froid. Sur les portes des boutiques est placardé l'ordre « d'expulsion sans délai des occupants de 72 lieux de commerces illégaux » du bidonville de Calais.
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