L'Egypte a dévalué la livre de 50% et augmenté le prix du carburant de 40% en moyenne dans la journée de jeudi 3 à vendredi 4 novembre. Des mesures qui étaient exigées par le FMI pour débloquer un prêt de 12 milliards de dollars sur trois ans, indispensables pour une économie égyptienne chancelante.
« Deux coups sur la tête le même jour, ça fait mal ! » C'est ainsi que les médias sociaux devenus la vox populi égyptienne ont résumé le sentiment général. Jeudi 3 novembre, les Egyptiens se sont réveillés avec la perte de la moitié de leur pouvoir d'achat face au dollar, devise étrangère de référence.
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