Je ne me souviens plus de l'année ni de l'âge que j'avais, mais j'étais encore à l'école primaire, à la mission catholique de Ouellé. Un jour, nous entendîmes que Laurent Pokou se trouvait dans une voiture qui était tombée en panne à l'entrée de notre bled.
Nous désertâmes aussitôt nos classes et nous nous rendîmes sur les lieux. Nous vîmes un homme que l'on nous présenta comme étant Laurent Pokou, et nous écarquillâmes les yeux pour le regarder. À cette époque, il n'y avait pas d'électricité à Ouellé, et donc pas de télévision. Fraternité Matin, l'unique journal du pays, ne parvenait que rarement à ceux de nos parents, peu nombreux, qui savaient lire.
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