Une partie du Ghana est en deuil depuis jeudi 25 novembre après le décès, lundi, de la reine du royaume Ashanti, une figure traditionnelle influente de l'est du pays. Celle qui était aussi la mère du roi des Ashantis avait surtout autorité sur 10 000 «reines mères» disséminées à travers le pays, lesquelles ont la lourde charge de nommer les chefs communautaires.
C'était une petite dame aux cheveux courts, l'épaule nue, enroulée dans un châle. Dans son palais de Kumasi, assise sur le banc des souverains, elle recevait ses sujets, protégée par le feuillage d'un grand arbre, derrière des lunettes rondes un peu trop lourdes pour elle.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article