Kelley Baracks, dans cette banlieue laborieuse de Stuttgart, rompt dans le paysage de bureaux en verre et acier, par sa rusticité, une caserne ne s'ignore pas. Le siège de Africom, le commandement des États-Unis pour l'Afrique est une petite ville dans la ville, avec ses codes, ses commodités et son identité. Dès l'entrée, haute sécurité : la Sergent Major Ray, contrôle consciencieusement les identités avec son équipe de sentinelles.
Pour l'histoire, ce camp américain a été bâti sur un bout du mur, ce fameux mur qui pendant un demi-siècle a séparé les deux Allemagne. Un bout de ce vestige a été préservé, comme pour signifier au visiteur que cet endroit porte les stigmates d'une histoire qui ne s'est jamais arrêtée.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article