L'annonce de la mort de plusieurs manifestants a ravivé la tension entre des camps qui usent des stratagèmes divers. Flics et « vandales» jouent à cache-cache
En observant l'opposition entre forces de maintien de l'ordre et la population à Bamenda le jeudi 8 décembre 2016, on avait par moment l'impression d'assister à un film de guerre. Des tirs, des corps qu'on annonçait abattus. Le camp qui perdait un « soldat », s'empressait de porter le corps pour aller clamer vengeance en accourant plus furieux vers l'adversaire. Les «vandales », comme ils sont qualifiés en face, ont entamé les hostilités en brûlant la tenue de quelques militants qui allaient à un meeting du Rdpc.
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