Elle ne porte pas de bijou. Sur son visage, par contre, des perles de sueur. Pas étonnant quand on travaille dans une «rôtissoire». Mais ce n'est pas la chaleur infernale ou le four qui tourne à plein gaz qui éteindront la flamme de Nooreza pour son métier de marsan pistas.
Sous son petit coin de tente, à la Gare du Nord, la dame de 47 ans essaie de se faire une place au soleil, contre vents et marées. Sa devise: garder le moral même quand «ou travers dan siklonn».
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