Réagissant à nos deux derniers articles publiés sur le 16e Sommet d'Antananarivo et sur le bilan de mi-mandat de Michaëlle Jean à la Francophonie, la secrétaire générale de l'OIF m'a ainsi confié, en toute franchise, que mes récents textes l'ont laissée quelque peu perplexe.
« Je connais suffisamment les médias pour savoir qu'ils sont vite preneurs de titres qui frappent et font vendre. J'estime cependant certains jugements trop étroits et l'évocation d'un "bilan" plutôt hâtive, sautant vite à des conclusions, sans tenir compte du travail abattu, de l'ensemble des chantiers entrepris, des faits et des circonstances, des enjeux considérables et des objectifs à atteindre. Je me concentre sur l'œuvre à accomplir dans l'immédiat et dans la durée. Il n'y a pas de panacée, mais du travail. »
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