La crise politique en Guinée-Bissau commence à user les patiences à la Cédéao où l'on envisage sérieusement d'accélérer le retrait de l'Ecomib, la force ouest-africaine forte de 550 hommes. Les responsables de la Cédéao estiment qu'il faut envoyer un signal fort au président Vaz qui n'applique pas l'accord de Conakry signé en octobre dernier.
« Dix-huit mois de crise politique à Bissau, c'est beaucoup trop long ! » Voilà le constat d'un diplomate de la Cédéao visiblement excédé par les atermoiements de la classe politique et en particulier ceux du président José Mário Vaz.
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