Certains élèves-gendarmes manifestent déjà le désir de rejoindre leurs camarades partis après l'incident de mercredi dernier.
Trois élèves-gendarmes sont assis à même le sol en face de l'entrée principale de l'Hôpital militaire de Yaoundé. Ils échangent calmement sur le drame qu'ils ont vécu la veille (15 février). Chacun tient en main un carnet médical. A première vue, on ne dirait pas qu'ils sont là pour recevoir des soins médicaux.
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