Depuis 2015 et la destruction des principales radios, les jeunes burundais n'ont eu d'autre choix que de s'informer via les réseaux sociaux et les systèmes de messagerie instantannée tels que WhatsApp.
Via leurs téléphones, les jeunes burundais reçoivent un flot ininterrompu d'informations qui contiennent parfois des rumeurs voire des manipulations.
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