Alors que la majorité soutient que cette correspondance contenant le nom du candidat Premier ministre désigné par le Rassemblement en vue de sa nomination n'a jamais été réceptionnée par les services de la présidence, la médiation dit le contraire.
La chronique politique reste toujours dominée par le choix du candidat Premier ministre censé être nommé par le chef de l'État conformément à l'accord de la Saint)-Sylvestre. Tout paraît bloqué à l'heure qu'il est sur fond d'interprétation du point III.3.3 dudit accord qui stipule que « le Rassemblement présente un candidat Premier ministre pour nomination par ordonnance du chef de l'État ». Pour la majorité qui tient à ce que le pouvoir discrétionnaire du président de la République soit appliqué dans cette disposition conformément à la Constitution, le Rassemblement est astreint à présenter trois noms parmi lesquels le chef de l'État choisira un pour nomination. Un scénario que refuse d'admettre le Rassemblement qui tient à ne présenter qu'un seul candidat tel que stipulé dans l'accord de la Saint-Sylvestre.
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