Dakar — La journaliste française, Catherine Ruellele, estime que le manque d'intérêt des investisseurs privés africains pour le septième art, considéré comme une "industrie à risque", figure parmi "les problèmes" du cinéma africain.
"Il y a des Etats qui font des efforts, mais il n'y a pas d'investisseurs privés. C'est ça le grand problème du continent africain. Il y a plein de milliardaires en Afrique, mais ils préfèrent investir sur des choses qui rapportent à court terme que sur des films qui sont souvent à risque", a-t-elle déclaré.
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