Elles mettent en cause les voitures chinoises de la Camrail, dont le système de freinage était manifestement défectueux.
Le procès ouvert à Paris en France contre l'entreprise Camrail à la suite de cet accident qui avait coûté la vie officiellement à 79 personnes - plus d'une centaine selon d'autres sources, aux encablures de la gare d'Eséka le 21 octobre 2016 n'a pas prospéré, les tribunaux français s'étant déclarés incompétents pour connaître de la cause.
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