A Ouagadougou se tient en ce moment le 25e Fespaco, le plus grand festival de cinéma africain du monde. 150 films sont présentés et, parmi eux, vingt sont en lice pour l'Etalon de Yennenga, le grand prix. Nombre de ces productions se penchent sur les maux de l'Afrique, de façon directe ou détournée.
Quand l'Afrique se filme, elle pose la caméra là où ça fait mal. Sur les violences policières par exemple, dans Innocent Malgré tout, de Kouamé Jean de Dieu Konan, un ramasseur d'ordures d'Abidjan est injustement accusé du meurtre de la fille d'un ministre.
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