L'institution aurait également promis un traitement administratif normal aux documents soumis à ses services par l'Institut de recherche en droits humains (IRDH).
Dans sa réponse à la lettre ouverte que lui a adressée le 19 février par l'IRDH intitulée : « Oyo Akufi te », en rapport avec une vidéo qui serait aux massacres perpétrés à Mbuji-Mayi, dans le Kasaï, la CPI admet être saisie du dossier et a promis de l'étudier. « En effet, dans son accusé de réception du 6 mars 2017, le bureau du procureur de la CPI dit à l'IRDH que les informations [... ] ont été inscrites, comme il se doit, au registre des communications du Bureau et recevront toute l'attention voulue, conformément aux dispositions du Statut de Rome de la Cour pénale internationale », a souligné l'IRDH, dans son bulletin électronique du 9 mars.
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