Alors que la clé de répartition est connue depuis janvier 2017, les postes ministériels à réserver à chaque composante fait l'objet d'intenses négociations autour de la Cenco. Jusque tard mercredi, le groupe de travail mis en place à cet effet n'était pas en mesure de présenter ses conclusions devant la plénière. C'est parti pour une nouvelle prolongation, sur fond de grande bousculade, en attendant d'aborder une autre question qui fâche, à savoir, la présidence du Conseil national de suivi de l'accord.
La composition du prochain gouvernement est au centre d'intenses tractations au niveau du Centre interdiocésain où se poursuivent les travaux sur l'arrangement particulier à l'accord du 31 décembre 2016. Si la clé de répartition entre composantes ne fait l'ombre d'aucun doute, l'attribution des postes ministériels à chacune d'entre elles est loin de trouver un dénouement.
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