A la veille de l'ouverture du procès de Simone Gbagbo et malgré quatre années de travail et de collaboration avec la justice ivoirienne, la Fédération internationale des droits de l'homme avait décidé de se retirer de la procédure, au motif entre autres que l'instruction avait été bâclée. A l'issue du procès, Antonin Rabecq, représentant de la FIDH en Guinée, se dit donc à demi-supris, et relève surtout les failles de ce procès.
La justice ivoirienne avait déjà condamné Simone Gbagbo en 2014 à une peine de vingt ans de réclusion à l'issue d'un procès qui avait été très fragile et très contesté. Celui-ci l'a été également et donc on pouvait s'attendre à une peine similaire.
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