« Concernant la mutualisation de nos efforts, avec les menaces terroristes, nos pays ont dû déployer des sommes importantes, des ressources humaines essentielles pour contenir et prévenir toutes ces attaques. Et d'ailleurs, nous avons pensé qu'au même titre que les investissements, les dépenses de sécurité devraient faire l'objet d'une attention toute particulière au niveau de la communauté internationale. Parce que sans sécurité, il n'y a pas de développement.
Si je prends le cas particulier de la Côte d'Ivoire après l'attentat de Grand Bassam, c'est plus de 80 milliards de FCFA que nous avons dû déployer en quelques semaines pour la prévention. Tous les pays de la sous-région ont à faire des dépenses similaires et ceci ne fait qu'aggraver le déficit budgétaire de nos Etats.
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