Monsieur le Directeur de la CAMWATER,La fête du 20 mai est généralement un moment de forte fréquentation de la capitale politique du pays. Des étrangers et des citoyennes et des citoyens de l'intérieur, affluent pour des distractions, des contemplations.
Cette année, la capitale est de part en part, piochée, trouée, faite de ruelles et de semblants d'avenues creusées sauvagement. On a l'impression de tranchées des champs de bataille d'Irak ou de Syrie. On ne compte plus les fractures d'adultes et d'enfants, tombés dans ces pièges à ciel ouvert.
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