En réaction à la condamnation hier 20 avril, à trois mois de prison avec sursis de la jeune activiste mauritanienne Oumou Kane, présidente de l’Association multiculturelle pour un avenir meilleur (AMAM), pour « participation à un rassemblement non autorisé », François Patuel, chercheur sur l’Afrique de l’Ouest à Amnesty International, a déclaré :
« Oumou Kane a simplement été condamnée pour avoir organisé une manifestation pacifique. Cette condamnation vise à intimider les défenseurs des droits humains et illustre la volonté des autorités de réprimer toute forme de dissidence. »
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