Le 24 avril dernier, le correspondant de RFI en langue haoussa a été condamné dans son pays, le Cameroun, à un peine d'emprisonnement de 10 ans ferme assortie d'une amende d'environ 56 millions de FCFA pour « non-dénonciation d'actes de terrorisme et blanchiment d'actes de terrorisme ».
En cas de non-paiement de l'amende, le journaliste pourrait passer cinq années supplémentaires en prison. Au-delà de la sentence qui a suscité un tollé général dans le milieu de la presse et bien au-delà, le moins que l'on puisse dire est que ce verdict traduit la dure réalité du métier de journaliste dans un pays de dictature.
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