A Libreville, au Gabon, le dialogue national convoqué par le président Ali Bongo, se poursuit. Il regroupe plusieurs formations de la majorité et une partie de l'opposition avec, pour objectif affiché, une République sans violences postélectorales.
Jean Ping, chef de l'opposition, boycotte toujours ce rendez-vous. Pour sa part, l'Union nationale, le grand parti de l'opposition qui a enregistré les défections de trois de ses vice-présidents, un député et plusieurs militants au profit de ce dialogue, a réuni son conseil de discipline, chargé de proposer des sanctions.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article