A Plus 16 mois de son échéance, la prochaine élection présidentielle camerounaise charrie déjà des convoitises. Encore « lointaine », mais certaine ( ?), pour reprendre l'expression du chef de l'Etat lors de la visite de François Hollande au Cameroun en 2015, l'élection présidentielle de 2018 crée des vocations, particulièrement chez des « new commers » de la scène politique.
Parmi les postulants déclarés ou virtuels, de nombreux jeunes loups aux dents longues, manifestement contaminés par l'effet Macron en France.
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