Des chaussons, des pantoufles, des sacs, des gâteaux «batat». Des «minn bwi», vendus à Rs 5 dans des sachets en plastique à des collégiens affamés. Au milieu de ce bazar, un homme à la mine tristounette. À côté de lui, des lunettes, de vue, de soleil. Confidences entre quat'z yeux.
Sylvio Tsia Sit Siu a 59 ans. Sur sa nuque, une houppette grisonnante, sur sa tête, une casquette de soldat branché. Il ressemble vaguement à Jackie Chan, version marquée par la vie. Une cicatrice zèbre son visage, le destin lui a balancé des coups de katana.
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