Un investissement pareil qui a coûté des millions de dinars ne peut être amorti et rentabilisé par quelques finales ou un seul événement (comme celui de l'Afrobasket 2015 qui a constitué le retour par la grande porte de cette salle).
Avec un parquet pareil et une chorégraphie «humaine» sur les gradins lors de cette finale ESR-USM, ou n'aurait pas cru, à un moment, que nous sommes sur un match de basket en Tunisie. Une seule fois par an, c'est trop peu pour une salle aussi grandiose et pour un investissement aussi lourd.
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