Une triste journée de violence insensée. Mais ce fut également une triste journée de violence anarchique contre les forces de l'ordre, leurs locaux et leurs véhicules, contre les bâtiments publics symbolisant l'Etat et contre les sites de production pétrolière qui appartiennent au peuple tunisien et financent le Trésor public.
Cette journée est, ainsi, le point de départ d'une tardive mais vitale prise de conscience quant à l'importance majeure des lignes rouges devant baliser la contestation sociale et protéger, en tout état de cause, les biens publics et la libre circulation.
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