Dans l'affaire du trafic de bébés nigérians, au Niger, les condamnés du 13 mars 2017 ont été laissés en liberté jusqu'au mercredi 31 mai, où ils ont été convoqués à la gendarmerie pour se voir notifier leur décision d'incarcération.
Ces hommes et ces femmes sont poursuivis pour « supposition d'enfants », un délit qui consiste à s'attribuer la maternité d'un nouveau-né qui n'est pas le sien.
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