L'ONG Droits Humains Océan Indien (DIS-MOI) monte au créneau pour dénoncer la révocation d'Anishta Babooram-Seeruttun en tant que membre de la Human Rights Commission.
C'est par le biais d'un communiqué que le directeur de l'ONG, Lindley Couronne, a réagi. Selon lui, une institution des droits humains qui se veut indépendante doit se garder de faire les caprices des politiciens en place. A travers son organisme, il réitère sa demande à ce que ni la classe politique ni une autre autorité n'interfère dans le travail de la National Human Rights Commission. Cette révocation fait suite au fait que l'avocate s'est permis de s'exprimer sur plusieurs sujets relatifs aux droits humains suite au décès d'un détenu en cellule policière.
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