L'avocat met en évidence plusieurs accusations d'une violence inouïe. Selon lui, dans la législation tunisienne, la mauvaise gestion est assimilée à de la corruption dans plusieurs textes régissant la gestion des deniers publics.
Il reproche notamment à l'instance de ne pas avoir été suffisamment parcimonieuse dans ses dépenses. Pour étayer son argumentaire, il cite des notes d'hôtel au nom de Kamel Toujeni (membre du conseil) s'élevant à 55 mille dinars, payées par l'Isie alors que le salaire incluait bien des indemnités de logement.
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